par Denis Lucky Luke Dionne
Départ à 16 heures du CREPS avec Ralph Long Rifle Doyle. Il fait 14 degré avec un vent d'ouest sous un soleil radieux.
Je porte mon cuissard-combinaison Craft, un maillot, mon veston Carrera, mes gants et ma tuque. Le Grand est tout nu : il ne porte que ses ¨rallonges de jambes¨ en plus de l'essentiel. Il a également apporté ses ¨rallonges de bras¨dans son maillot au cas où.
Je lui fait remarquer qu'il y en a un des deux qui ne doit pas être correct. Il me dit que je semble atteint du syndrome Claude Asselin. Toutefois, dans les montagnes du Lac Vert, je suis convaincu que c'est moi qui est correct car j'ai deux glaçons qui me pendent au bout du nez.
Le Grand roule en tabarnak... Sur la route de St-Bruno, avant le Ricochet, nous apercevons deux cyclistes à l'avant. Rifle décide de les prendre en chasse au moyen de relais courts. Nous parvenons à les rejoindre et j'ai l'honneur de les clencher dans ma côte préférée, à l'entrée de la ville. Rifle me harponne au sommet, et ¨bonsoir, nous sommes partis¨.
Je suis accroché tant bien que mal dans sa roue et nous survolons la route jusqu'à Alma (je suis en train d'avaler ma tuque). Les deux gars se sont accrochés. Rendus à l'intersection de la route du lac, Rifle passe sur la rouge alors que je fais mon stop, comme c'est mon habitude quand je suis dans un état second...
Un des gars me dit: ¨Il roule en tabarnak le gars !¨. Je lui répond que ce n'est pas un gars mais une sorte d'animal et que nous étions chanceux qu'il n'ait roulé que sur son petit plateau ! Il m'a regardé avec un sourire crispé.
Départ à 16 heures du CREPS avec Ralph Long Rifle Doyle. Il fait 14 degré avec un vent d'ouest sous un soleil radieux.
Je porte mon cuissard-combinaison Craft, un maillot, mon veston Carrera, mes gants et ma tuque. Le Grand est tout nu : il ne porte que ses ¨rallonges de jambes¨ en plus de l'essentiel. Il a également apporté ses ¨rallonges de bras¨dans son maillot au cas où.
Je lui fait remarquer qu'il y en a un des deux qui ne doit pas être correct. Il me dit que je semble atteint du syndrome Claude Asselin. Toutefois, dans les montagnes du Lac Vert, je suis convaincu que c'est moi qui est correct car j'ai deux glaçons qui me pendent au bout du nez.

Je suis accroché tant bien que mal dans sa roue et nous survolons la route jusqu'à Alma (je suis en train d'avaler ma tuque). Les deux gars se sont accrochés. Rendus à l'intersection de la route du lac, Rifle passe sur la rouge alors que je fais mon stop, comme c'est mon habitude quand je suis dans un état second...
Un des gars me dit: ¨Il roule en tabarnak le gars !¨. Je lui répond que ce n'est pas un gars mais une sorte d'animal et que nous étions chanceux qu'il n'ait roulé que sur son petit plateau ! Il m'a regardé avec un sourire crispé.
1 commentaire:
Bonjour la gang..
Je découvre, grâce aux indications d'un informateur anonyme !!! LE blog..
J'observe qu'une fois la toge enlevée, monsieur le JUGE peut avoir à l'occasion un langage éclésiastique..
Ce doit être ses éléments latins qui ressortent..
Bonne saison à tous et toutes.
RM..
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